Sandrine :
« J’ai des problèmes depuis plusieurs années dans mon appartement. Il y a d’abord eu la moisissure dans la salle de bain, puis la peinture a commencé à faire des cloques et à s’écailler partout sur le plafond du couloir. Je me suis plainte à plusieurs reprises de l’humidité auprès du bailleur social, sans succès ! Quand j’ai rencontré quelqu’un d’Alda, j’ai enfin eu quelqu’un qui m’a écoutée. Avec Alda, on a rédigé un courrier au bailleur. Les choses ont commencé à bouger. Il y a eu un rendez-vous à mon domicile avec la gardienne et le responsable de secteur : ils m’ont encore dit que tout était à ma charge et que c’était de ma faute. Mais avec Alda on n’a pas lâché, on les a relancés et finalement j’ai reçu un courrier pour dire qu’ils viendraient faire des travaux. Pour la salle de bain, trois jours après le courrier ils étaient là. Et pour le couloir j’attends qu’on m’appelle pour prendre rendez-vous. Ça prend du temps, mais au moins ça bouge enfin. »
Carine :
« Mon appartement était très humide. La moisissure s’installait et je me doutais que ça avait aussi des conséquences sur la santé de mes enfants, qui se dégradait. Malgré mes signalements et une pétition, le bailleur social ne bougeait pas. J’ai demandé l’aide d’Alda, qui a écrit à HSA pour exposer en détail la situation de l’appartement et les risques pour mes enfants. Le responsable d’agence répond alors dans la foulée et un diagnostic est établi par un expert. Il découvre que la ventilation ne marche pas, et trouve une solution temporaire pour la refaire fonctionner : un minimum de confort revient. Évidemment ce n’est qu’une première étape. L’humidité persiste, il faudra un système d’aération plus performant, et réparer les dégâts que l’humidité a causé. Le bailleur s’y est engagé. Alda suit de près avec moi les différentes opérations pour que tout avance au mieux. »
Marie-Josette :
« Orange était venu réparer l’accès Internet dans mon logement après mon arrivée. Office 64 refusait de me rembourser. L’envoi par Alda d’un courrier recommandé a débloqué la situation. »
Karine :
« Il y a deux ans, mon propriétaire a décidé de vendre l’appartement où je logeais depuis cinq ans. Je ne pouvais pas l’acheter, alors j’ai cherché un nouveau logement. Les agences exigeaient que mes revenus fassent plus de trois fois le loyer : impossible dans ces conditions ! La date limite approchait, et je risquais de me retrouver avec une procédure d’expulsion de mon logement, qui est aussi mon lieu de travail… Sans solutions, je me suis alors tournée vers Alda. Un rendez-vous urgent avec les responsables de l’agence a été organisé au local d’Alda place des Gascons. Une solution a émergé sous la pression d’Alda : pas d’ouverture de procédure d’expulsion tant que je n’ai pas trouvé de nouveau logement ! Pendant ce temps, Alda m’a aidée dans mes recherches de logement, et j’ai rapidement trouvé un autre appartement, dans le parc privé d’abord, puis en HLM. Aucune procédure d’expulsion n’a eu lieu. »
Yannick :
« J’habite à la ZUP de Bayonne. Mon abonnement SFR se finissait. J’ai essayé de le faire renouveler avec les mêmes tarifs, sans succès. J’ai décidé de laisser l’abonnement se finir et de changer d’opérateur. SFR a alors tenté plusieurs fois de me prélever plus de 400€ pour la résiliation de mon nouvel abonnement, alors que je ne m’étais même pas réabonné ! Un huissier m’envoyait régulièrement des courriers d’avertissement, et impossible de changer d’opérateur car SFR affirmait que j’avais une dette envers eux. » Un collègue de travail m’a conseillé d’aller voir Alda, ce que j’ai fait. Alda avait un contact rapide chez SFR, obtenu grâce à l’occupation d’une de leurs agences. Ensemble, nous avons pu faire annuler ma soi-disante “dette” et faire arrêter les courriers de l’huissier. J’ai enfin pu changer d’opérateur.
Anne Marie
« Suite à une incompréhension concernant mon contrat d’assurance voiture, la représentante d’Alda, habitant mon quartier Balichon, m’a permis de solutionner ce problème de manière très efficace. Je suis très reconnaissante d’avoir trouvé du soutien. »
Johanna »
Habitant Urrugne, j’ai été victime d’un congé pour reprise. Mon propriétaire a déclaré devoir s’installer dans l’appartement que je lui louais et je me suis retrouvée à la rue avec mes enfants. Depuis, il ne s’y est en fait jamais installé… Mais moi, ne trouvant pas de logement avec mes faibles ressources, j’ai dû habiter un… cabanon de jardin, avec un toit en tôle et des escargots et araignées rentrant à l’intérieur. Imaginez ma situation quand il pleuvait, qu’il faisait froid ou bien chaud ! Demandeuse de logement social depuis 2018, je n’avais pourtant aucune proposition à ce niveau. En désespoir de cause, j’ai contacté Alda qui m’a aussitôt aidée avec sérieux, professionnalisme et détermination. Ils m’accompagnent et me soutiennent depuis 10 mois sans interruption ! Examinant tout mon dossier, ils m’ont aidée à déposer un recours DALO (Droit au logement opposable). Ils ont fait passer un expert qui a déclaré mon habitat «impropre par nature et ne garantissant pas la santé et la sécurité physique de l’occupante ». Le recours DALO a été accepté et suite à cela HSA m’a attribué un T3 à Ahetze où je vais pouvoir aménager ce mois d’octobre avec mes filles. J’ai vécu un enfer pendant près d’un an et j’ai tenu grâce au soutien constant de l’association Alda.